Cheminement du 30 mai

Quels sont les piliers de ma nouvelle dynamique ?

Sur quoi repose de mon bien-être? En quoi est-ce que ce sont des bases saines? Comment faire en sorte de les consolider? Comment en prendre soin? Comment les équilibrer entre elles?

Nous avons mis en place des habitudes, des bulles de bien-être dans notre quotidien. Certaines sont devenues ces éléments importants de notre routine. Elles sont celles qui nous apportent le plus, qui nous aident vraiment à prendre soin de nous et sur lesquelles les autres reposent. Nous devons les identifier afin de les entretenir et nous assurer de leur solidité et d’en prendre soin. Parce qu’elles sont ce qui nous permet de nous sentir bien avec nous-mêmes, avec les autres.

Aujourd’hui, je fais le tour des piliers de mon bien-être et je m’assure de leur stabilité.

Je peux:

  • m’assurer que j’inclus au moins un de ces piliers dans mon quotidien.
  • approfondir ma pratique
  • en faire des habitudes, si ce n’est pas encore le cas.
  • Profiter de leurs bienfaits, jours après jours

Parce que je le mérite

Cheminement du 29 mai

Avec qui puis-je partager sans jugement?

Qui est là pour m’écouter? Qui est là pour m’accompagner dans mon cheminement? Qui n’essaie pas de m’imposer sa vision des choses? Qui me pousse à me poser les bonnes questions? À qui puis-je me confier? Avec qui puis-je me sentir libre d’être moi-même?

Nous avons tous nos expériences et notre vécu, notre vision des choses et nos propres valeurs. Et il est plutôt aisé de juger autrui, dès lors que leur chemin ne suit pas la route que nous avons tracée pour nous-même. Nous pouvons ne pas comprendre leur choix, ou même être en désaccord avec eux… Pour autant, en projetant sur autrui notre propre expérience de vie, nous invalidons la leur. En imposant notre vision des choses, nous nions la leur. En pensant leur offrir une norme à suivre, nous leur refusons l’expression de leur singularité… Nous sommes responsables de nos choix, notre expérience de vie est tout aussi valable que celle d’autrui. Nous avons la chance d’avoir la possibilité de découvrir, d’explorer, de partager…

Le jugement, c’est imposer aux autres notre point de vue, nos valeurs, notre vision, nos principes. C’est projeter nos propres angoisses, nos propres failles, nos propres échecs sur autrui. Alors que leur chemin de vie est différent du notre… La réciproque est aussi vraie. Nous pouvons subit le jugement et non l’appliquer.

Le discernement, c’est être le témoin de leur expérience de vie, c’est leur offrir un espace de parole et de partage. C’est exprimer la confiance et l’affection que l’on ressent pour eux. Et c’est aussi nous donner l’occasion d’être en contact avec des idées, des savoirs-faire, des savoirs-être différents des nôtres, et nous enrichir à leur contact. C’est essayer de comprendre, sans projection de notre part, c’est se donner l’opportunité d’apprendre. C’est s’enrichir mutuellement, et respecter ce que l’autre ressent, fait, ou est.

Aujourd’hui, je prends conscience des personnes qui m’offrent un espace de liberté d’être moi-même. Et je me rends compte que, parfois, moi aussi je peux être dans le jugement.

Je peux:

  • noter les temps de la semaine où je me suis senti(e) jugé(e),
  • écrire ce que j’ai ressenti lorsque j’ai été jugé(e) par quelqu’un
  • noter les moments où moi-même j’ai été dans le jugement, sans me blâmer pour ça, j’apprends!
  • essayer de comprendre ce qui déclenche ce jugement de ma part, et essayer d’y remédier dans le futur.
  • surtout, surtout, ne pas me juger, mais être le témoin de ma progression en la matière.

Parce que je le mérite.

Cheminement du 28 mai

Cheminement du 28 mai.

Sur qui puis-je compter tout en gardant mon indépendance?

Qui est là pour m’écouter sans m’imposer sa vision des choses? Avec qui puis-je partager sans être jugé(e) ? À qui puis-je parler librement, sans limiter ce que je peux dire ou non? Qui est là pour moi, lorsque j’en ai besoin? Avec qui est-ce que je me sens bien?

Nous avons appris à prendre soin de nous ces dernières semaines. Et nous avons pris conscience que si certains nous soutiennent dans notre démarche, sont peut être même curieux de nos découvertes, d’autres en revanche ne comprennent pas. Ils font tous partie de notre vie. À nous d’avoir conscience de la position de ceux qui nous sont proches. Chacun a sa vision des choses, son vécu, ses besoins, ses désirs. Il ne nous appartient pas de les juger, ou de leur imposer notre point de vue. Tout comme il n’est pas de leur responsabilité de le faire pour nous. Profitons juste de ceux qui respectent nos choix, et avec qui nous nous sentons bien.

Aujourd’hui, je prends conscience de la présence à mes côtés de ceux qui m’apportent du bien être.

Parce que nous le méritons.

Cheminement du 27 mai

A quelle fréquence puis-je instaurer des temps pour moi?

Est-ce que je peux faire quelque chose pour moi chaque jour? Plusieurs fois par semaine? Une fois par semaine? Moins souvent? Pourquoi? Est-ce que je peux prévoir des temps forts régulièrement? Est-ce que je préfère intégrer ces moments dans ma routine quotidienne?

Il n’y a pas de règle ici. Chacun a des besoins, des envies, des désirs différents. Chacun a un rythme de vie différent. Le seul objectif ici est de ne pas oublier de prendre soin de soi, ne pas s’oublier. Les petites choses font souvent autant de bien que les grandes… à nous de voir ce qui nous convient, mais surtout, d’inscrire ces moments régulièrement dans notre emploi du temps. Nous n’avons pas fait tout ce chemin pour le laisser derrière nous. Nous en avons récolté les fruits et il ne tient qu’à nous de pérenniser cette culture de moments de bien être.

Aujourd’hui, je mets en place des moments de bien être réguliers dans mon emploi du temps.

Je peux:

  • Au quotidien:
    • prendre mon thé ou mon café sur mon balcon/ma terrasse/dans un parc.
    • lire un chapitre d’un roman, d’un livre qui me passionne en ce moment.
    • écrire dans un journal,
    • méditer, ou faire une visualisation, ou de la relaxation,
    • écouter de la musique
    • prendre une douche, hydrater ma peau et en profiter pour me faire un petit massage,
    • emporter un carnet avec moi pour y jeter mes pensées, y gribouiller, m’y amuser
    • prendre la photo de quelque chose qui me fait sourire.
    • faire une activité physique
    • ou un mélange de tout ça, en alternant.
  • Chaque semaine:
    • prendre un verre ou un café avec un proche
    • faire un soin du corps un peu plus spécifique
    • remplir une page de mon carnet de croquis
    • faire une balade dans la nature pendant quelques heures, ou au moins m’asseoir au bord d’un cours d’eau, ou dans un parc…
    • faire quelque chose qui me plait vraiment, pendant le temps dont j’ai besoin
  • Chaque mois:
    • aller chez le coiffeur, ou le barbier, ou chez l’esthéticienne (j’aime prendre soin de mes ongles et changer ma couleur de vernis chaque mois, pour le fun, par exemple)
    • passer un moment spécial avec des proches (amis, famille…)
    • planifier mon mois à venir en prévoyant mes bulles de bien-être…

Parce que je le mérite.

Cheminement du 26 mai

Comment m’organiser pour conserver mon équilibre?

Quand puis-je me réserver des temps pour moi? De combien de temps ai-je besoin chaque jour? Chaque semaine? À quelle fréquence? Quels outils puis-je mettre en place? Comment faire en sorte que ça ne me pèse pas? Comment ne pas transformer ces temps en corvées? Comment les rendre naturels pour moi?

Nous avons mis en place des temps de bien être dans notre vie, que ce soit au quotidien, même pour quelques minutes, ou à une fréquence moins élevée. Nous avons trouvé un système qui nous convient, et qui équilibre le stress ou la pression que nous pouvons expérimenter dans nos vies. Nous méritons de conserver ces bulles d’air pur, ou du moins de mettre en place une organisation de notre vie personnelle et/ou professionnelle pour que ces temps puissent s’installer et continuer de nous apporter du bien être. C’est une question d’équilibre et de prise en compte de la personne unique et merveilleuse que nous sommes.

Aujourd’hui, je mets en place mon organisation pour continuer à équilibrer ma vie avec des temps de bien être.

Je peux:

  • regarder mon emploi du temps de la semaine et placer stratégiquement des moments courts de bien-être
    • un bon bain après une longue journée,
    • un pique nique dans un parc après une réunion stressante le matin,
    • un arrêt de quelques minutes (le temps de prendre un café au bord d’un lac par exemple) avant de commencer ma journée,
    • un verre avec un(e) ami(e) à la fin de ma semaine de travail
  • prévoir des moments plus longs, lorsque c’est possible
    • une grasse matinée le week end (et s’il faut confier les enfants aux grand-parents, à des proches, ce serait encore mieux! Ou profiter qu’ils dorment chez des copains…)
    • une balade en famille dans la nature,
    • une retraite d’une journée, ou d’un week end pour être avec moi-même et me ressourcer
    • une soirée avec des amis
  • me préparer une boite d’urgence bien-être dans laquelle je peux piocher de quoi me sentir mieux dans l’instant:
    • avec des photos de proches à la vue desquelles je me sens mieux immédiatement
    • avec des petits mots d’amis, de proches, qui réchauffent le coeur instantanément
    • avec des petits papiers sur lesquels j’ai inscrit des souvenirs qui me font du bien, des paroles, des moments, des personnes.
    • des objets qui me font sourire….

Parce que je le mérite.

Cheminement du 25 mai

Sur quoi m’appuyer pour parvenir à un bien être durable ?

Que puis-je continuer à faire parmi ce que j’ai mis en place ces dernières semaines? Quelles sont les connaissances sur lesquelles je peux m’appuyer? Qu’est-ce qui me parait envisageable sur le long terme? Qu’est-ce qui est devenu une habitude et qui m’apporte du bien être?

Ces dernières semaines, nous avons mis en place de quoi prendre soin de nous. Que ce soit des petites choses ou une routine plus complexe, nous nous sentons bien avec ce que nous avons déjà accompli. Et nous pouvons nous en servir pour continuer à installer des bulles de bien être dans notre vie de tous les jours. Nous avons dans notre sac à malice ces petits riens, ces moments que nous pouvons utiliser comme bon nous semble. Nous avons aussi un socle, une base de laquelle nous envoler.

Aujourd’hui, je prends conscience de ce que j’ai déjà mis en place et sur lequel je peux m’appuyer.

Je peux:

  • Faire la liste de toutes ces petites choses que je peux utiliser quand j’en ressens l’envie ou le besoin.
  • Mettre en place une routine sur laquelle m’appuyer.
  • Continuer à explorer ce qui me fait plaisir.
  • Continuer à apprendre toujours plus, à me comprendre toujours mieux, à m’apprécier d’avantage chaque jour.


Parce que je le mérite.

Cheminement du 24 mai

Que mettre en place concrètement pour prendre soin de moi dans la durée ?

Qu’est-ce qui est possible pour moi de faire régulièrement? À quelle fréquence puis-je le faire? Comment faire en sorte que je m’y tienne? Comment en faire une priorité? Quels sont les bienfaits que je pense en retirer? Comment l’intégrer dans ma routine quotidienne? Sous quelle forme ?

Même si nous avons porté notre attention ces dernières semaines sur notre bien être, si nous avons pris soin de nous, rien n’est inscrit dans le marbre. Nous pouvons passer à tout autre chose dès que ce cheminement est terminé. La vie reprendra son cours et tout ce que nous avons fait ces dernières semaines risque de devenir un doux souvenir. Et pourtant, il suffit peut-être de libérer un peu de temps chaque jour ou chaque semaine pour que ce que nous avons fait s’inscrive en nous et dans notre routine quotidienne. Parce que nous en avons besoin. Et que se priver de ce qui nous fait du bien n’a aucune légitimité.

Aujourd’hui, je fais en sorte de faire de mon bien être une priorité dans ma vie.

Je peux:

  • Inscrire des moments pour moi dans mon agenda, dans mon calendrier.
  • Faire de ces temps de bien être une habitude, et pour m’aider à l’installer, je peux me faire des traqueurs d’habitude dans mon bullet journal, ou sur une feuille de papier que je peux consulter et compléter chaque jour (je peux vous faire des modèles de traqueurs que vous pouvez utiliser dès maintenant, si vous le désirez)
  • Commencer ma journée par quelque chose qui me fait du bien (et en profiter toute la journée!)
  • Commencer par choisir une seule activité, ou choisir de varier les plaisirs. Mais faire en sorte que chaque jour, ou le plus souvent possible, je puisse profiter de prendre soin de moi.

Parce que je le mérite.

Cheminement du 23 mai

Quels sont mes besoins matériels?

De quoi ai-je réellement besoin matériellement pour me sentir bien? Que faire pour m’assurer que mes besoins matériels soient assouvis? Comment faire en sorte que mes besoins soient assouvis tout en préservant mon bien-être?

Nous avons tous des besoins différents pour nous sentir bien. Certains se satisferont d’un toit et de quoi se nourrir, d’autres auront besoin d’un peu de confort, d’autres se sentiront bien entourés d’objets qui auront du sens pour eux, d’autres encore apprécient de posséder la dernière version d’un objet ou d’une fonctionnalité. Chacun est différent, et le plus important est d’identifier ce qui, pour nous, constitue notre bien être matériel.

Aujourd’hui, je me demande ce qui est vraiment important pour moi matériellement afin que je me sente bien.

En ce qui me concerne, ce qui me rend heureuse matériellement est tout ce qui nourrit ma créativité et me permet de m’exprimer. Et j’avoue que mon ordinateur est probablement ce qui a le plus de valeur dans mes possessions, en dehors de ma voiture (qui n’a rien d’extravagant, loin de là). Je me sens bien entourée de mes pinceaux, stylos, crayons, peintures, encres… et de mes carnets, livres, même si j’essaie de ne pas trop me laisser envahir par ces derniers en utilisant une liseuse (offerte à ma fille par des personnes formidables, lorsqu’elle ne pouvait plus utiliser son côté droit. Elle a pu continuer à prendre plaisir à lire, et ça, c’est inestimable). Si je trouve un ouvrage qui me parle vraiment, je le rachète en papier, pour le plaisir de le prêter, ou de l’annoter et surtout, le plaisir de sentir l’odeur de son papier… Il m’en faut peu!! Pour le reste, je reste très simple. Mais oui, mes besoins matériel pour me sentir bien: de quoi nourrir ma créativité et l’exprimer le plus librement possible.

Parce que je le mérite.

Cheminement du 22 mai

Comment étendre mon équilibre intérieur à l’extérieur?

Que faire pour que ma vie au quotidien reflète mon équilibre intérieur? Comment partager mon équilibre intérieur avec mes proches? Que faire pour que mon équilibre intérieur s’étende dans ma vie professionnelle? En quoi ma relation aux autres reflète mon équilibre intérieur? Quels sont les changements que je peux mettre en œuvre dès maintenant? Comment rendre ces changements pérennes?

Nous constatons parfois un écart entre notre état intérieur et notre vie extérieure. Nous pouvons nous sentir en paix au fond de nous, mais constater que cette paix disparait ne serait-ce que temporairement lorsque nous nous trouvons en présence de certaines personnes, ou dans certains contextes. Que ce soit au niveau personnel ou professionnel, il est possible d’étendre cet état d’équilibre intérieur vers l’extérieur. Il suffit parfois de poser des limites saines, ou de nous organiser, ou encore d’exprimer nos besoins, de demander de l’aide, de dire clairement ce que sont nos attentes et ce que nous ressentons…

Aujourd’hui, je réfléchis à ce que je peux mettre en place très rapidement pour trouver un équilibre qui reflète celui que je ressens en moi.

Je peux:

  • Faire un point sur ce qui me parait devoir changer dans ma vie personnelle. Ce peut être aussi simple que d’instaurer une nouvelle routine de tâches ménagères, ou aussi complexe que de communiquer clairement avec un proche afin de poser des limites plus saines.
  • Parler de mon cheminement avec mes proches, et leur demander de respecter cet espace que je crée pour moi dans ma journée. Leur dire que cela me permettra également d’être plus détendu(e) ou disponible pour eux par la suite. Ils noteront de toute manière un changement, même minime, pour le meilleur.
  • Faire un point sur mon organisation professionnelle. Si nécessaire et possible, revoir l’organisation spatiale de mon espace de travail afin de le rendre plus efficace et moins anxiogène. Trouver un moyen de me faire des clins d’oeil dans ma pratique professionnelle (un code couleur, des post-it motivants etc).

Et je peux aller plus loin.

  • Je peux avoir une attention particulière pour un de mes proches, ou un(e) de mes collègues, ou encore un inconnu.
  • Je peux, lorsque l’occasion se présente ou parce que j’en ai envie, faire un acte de gentillesse désintéressé. Un post-it avec un mot d’encouragement laissé sur un banc dans un parc peut avoir un impact important pour celui ou celle qui le lira.
  • Je peux proposer une pause café à un(e) collègue et la passer à vraiment l’écouter.
  • Je peux faire l’effort d’écouter, aller vers l’autre. Parce que j’en ressens l’envie, et non pas parce que je « dois » le faire.

Sans attendre de retour. Juste parce que j’en ai envie, et que ça me permet d’étendre une petite partie de mon équilibre intérieur dans le monde qui m’entoure.

Parce que je le mérite.

Cheminement du 21 mai

Que faire pour retrouver mon équilibre intérieur?

Comment ne pas me laisser submerger par mes idées ou désirs? Que mettre en place pour que je puisse être dans la sérénité? Comment rééquilibrer mes activités pour que je puisse trouver du temps pour moi et me sentir bien? Comment m’organiser pour conserver une certaine sérénité? Que faire pour rentre cet équilibre pérenne?

Lorsque nous mettons en place de nouvelles habitudes dans notre vie, lorsque nous bousculons notre fonctionnement, nous créons un déséquilibre. Tout peut rentrer dans l’ordre tout seul, en créant un nouvel équilibre, ou nous devons intervenir pour que l’équilibre soit retrouvé. Pour ce faire, nous devons trouver un moyen d’éliminer les pensées parasites, ces petites choses qui nous reviennent encore et encore à l’esprit sans pour autant nous apporter quoi que ce soit (nos doutes, nos peurs, notre jugement). Et nous nous devons aussi gérer ce qui nous trouble au point de poser un problème, ce que nous pensons devoir faire, ce que nous ne parvenons pas à faire aussi bien/aussi vite que nous pensions pourvoir le faire… tous ces « tu devrais, tu aurais du, tu aurais pu, tu n’as pas, …. » qui nous empoisonnent tout au long de notre journée. Il y a souvent des solutions simples pour faire ce que nous avons à faire sans pour autant porter un poids inutile sur notre dos.

Aujourd’hui, je regarde en moi et je restaure l’équilibre, si besoin est.

  • En cas de pensée qui revient encore et encore, je m’efforce de la noter, et de passer à autre chose. Je reviendrai vers elle lorsque je serai disponible pour le faire. Mais je l’ai entendue, je l’ai prise en compte. Mais là, maintenant, ce n’est pas le moment.
  • en cas de doute, de peur, je m’arrête, je respire 3 fois profondément pour éclaircir mes émotions, et je regarde ce qui me cause ce souci. Souvent, il s’agit avant tout d’un manque de confiance en soi. J’échange cette émotion angoissante par l’idée de « je suis capable ». Quitte à le dire à vois haute pour que ce soit bien clair. Non mais oh!
  • En cas de pensée relative à un souvenir douloureux, en cas de flash back… , je reviens à moi, et je me dis que oui, ça s’est passé, c’est vrai, ça fait partie de mon histoire. Mais je suis ici et maintenant, et non pas à ce moment-là. J’ai conscience que c’est quelque chose que je devrai affronter tôt ou tard, mais ce n’est pas le moment. Je le ferai au moment voulu, dans un contexte qui me permettra de le faire en toute sécurité et sérénité. Et je reprends le cours de ma vie. Ce n’est pas si facile, et je dois rester fidèle à ma parole, et traiter ce genre de chose lorsque je me sens capable de le faire. Sinon, je devrai encore et encore y faire face, et je serai loin de l’équilibre que je recherche.
  • Et si je me sens complètement submergé(e) par tout ce qui se passe dans ma vie, il est peut-être temps de prendre un temps pour instaurer un système de gestion de mon temps. Que ce soit un bullet journal, un agenda, ou même l’application calendrier sur mon téléphone ou mon ordinateur, je choisi ce qui parait me convenir le mieux. Je m’y tiens, et je laisse le système ôter l’inquiétude et le désordre dans ma tête. Au départ, je note tout ce à quoi je pense, et j’essaie de ne pas me surcharger. Peu à peu, je remarque que certaines choses deviennent des choses que je fais régulièrement et automatiquement. Je n’aurai plus à les noter, puisqu’elles me sont devenues naturelles. Elles ne m’envahissent plus. Et je me sens de nouveau en paix.

    Parce que je le mérite.