Cheminement du 18 juin

Étape 3: je m’ouvre aux autres

Qu’est-ce qui me tient vraiment à cœur de partager ?

  • Qu’est-ce qui me parait important de partager?
  • Sur quelles valeurs ou connaissances puis-je m’appuyer?
  • Qu’est-ce que je sens pouvoir apporter?
  • Comment partager le plus simplement et efficacement possible?
  • Sous quelle forme partager ce qui fait partie de mon être intime?
  • Comment partager ce qui doit l’être et conserver en moi ce qui n’appartient qu’à moi?

Aujourd’hui je prends conscience de ce que je peux partager et ce qui doit rester en moi.

Je peux:

  • déterminer ce que j’ai vraiment envie de partager, ce qui me parait le plus important.
  • déterminer avec qui le partager, dans quel contexte, sous quelle forme?
  • faire en sorte de protéger ce que j’ai envie de garder en moi. J’ai tout à fait le droit d’avoir un jardin secret, même en étant dans l’ouverture.
  • prendre confiance en moi, et en ce que je veux partager.

Parce que je le mérite.

Il est en ligne! Vous pouvez trouver le guide pour ce cheminement ici. Il vous donnera de quoi cheminer à votre guise, en vous offrant de quoi suivre votre propre voie. Vous pouvez donc vous appuyer dessus tout en prenant votre envol.

Il se suffit à lui-même, mais vous trouverez quand même un article sur le cheminement du jour sur le blog, avec les petites pistes pour vous aider à aller plus loin, ou à matérialiser votre parcours.

Parce que vous le méritez.

Passez une merveilleuse journée.

Cheminement du 17 juin

Étape 3: je m’ouvre aux autres

Quelles limites puis-je instaurer pour me sentir bien ?

  • Quand puis-je me réserver du temps?
  • Comment m’organiser pour trouver un équilibre entre ma vie sociale et mon temps personnel ?
  • Qu’est-ce que je peux mettre en place pour m’assurer que je prends soin de moi chaque jour?
  • Qu’est-ce que je veux avoir comme priorité?
  • Comment faire en sorte de ne pas me laisser envahir mais conserver ma sérénité?

Aujourd’hui, je prends soin de moi en établissant des limites saines avec les autres.

Je peux:

  • Organiser mon emploi du temps pour m’assurer que je garde du temps pour mon bien être.
  • Faire passer mon bien être en premier. Je serai d’autant plus ouvert(e) aux autres si je me sens bien.
  • Poser une limite dans le nombre de temps passés avec autrui. Je ne suis pas obligé(e) de passer tous mes week ends, ou tous les soirs du week end avec ma famille, mes amis, ou à un événement culturel ou social. Les repas de famille peuvent être épuisants, et je peux en limiter le nombre aussi. J’ai aussi besoin de me ressourcer et de me reposer. Ce n’est pas parce que je n’ai rien prévu un soir ou un week end que je dois absolument compléter ce « vide ». Je peux en profiter pour me détendre et profiter un peu de moi.
  • Ne pas culpabiliser lorsque je décline une invitation parce que je suis fatigué(e) ou que je ne suis pas vraiment attiré(e) par le programme. Ou que je n’ai pas la force de passer du temps avec telle ou telle personne. J’ai le droit, et le devoir envers moi-même, de préférer ma sérénité à quelque chose de désagréable. Attention, je peux aussi avoir de bonnes surprises! Le principal est d’écouter ce que je ressens. Et de me préparer une soirée en solo qui me fera du bien.

Parce que le mérite.

Si vous désirez cheminer avec moi, pour une étape ou tout au long du mois, vous pouvez trouver les cartes et les carnets de bord ici. Je serai ravie de vous avoir à mes côtés!

Je travaille aussi sur une nouvelle forme de guide, et sur la version anglaise… à suivre!!

Passez une magnifique journée.

Cheminement du 16 juin

Étape 3: je m’ouvre aux autres

Est-ce que j’ai besoin d’avoir une meilleure écoute ?

Est-ce que j’écoute vraiment la personne avec qui j’échange ?
Est-ce que j’ai été capable de comprendre le raisonnement de mon interlocuteur?
Est-ce que je lui ai offert un espace de liberté pour pouvoir le faire?
En quoi est-ce que ce que j’entends enrichit ma propre réflexion?
En quoi est-ce que l’écouter me permet de mieux comprendre mon interlocuteur?
Est-ce que j’ai réussi à éviter de projeter et donc de brouiller son message?

Aujourd’hui je porte toute mon attention sur mon écoute.

Je peux:

  • remarquer, si dans une conversation, j’anticipe les réponses de la personne que j’écoute, ou si je lui laisse vraiment la liberté de dire ce qu’elle désire me communiquer.
  • vérifier que je ne projette pas mes propres opinion, que je ne juge pas la personne, mais que j’essaie de comprendre son point de vue.
  • être dans l’écoute active
  • m’intéresser vraiment à ce que me dit l’autre, même si ce n’est pas un sujet que je connais, ou qui me passionne. Le sujet n’est parfois pas important, lorsqu’il nous permet de mieux connaitre l’autre.
  • éviter de ramener la conversation à soi… et c’est parfois difficile, dans l’habitude du « moi, je… » en réponse est devenu un réflexe. Il ne s’agit pas de moi aujourd’hui, il s’agit de celui ou de celle que j’écoute.

Parce que le mérite

Si vous désirez cheminer avec moi, pour une étape ou tout au long du mois, vous pouvez trouver les cartes et les carnets de bord ici. Je serai ravie de vous avoir à mes côtés!

Je travaille aussi sur une nouvelle forme de guide, et sur la version anglaise… à suivre!!

Passez une belle journée.

Cheminement du 15 juin

Étape 3: je m’ouvre aux autres.

Est-ce que ma communication a besoin d’être améliorée ?

  • Est-ce que ma communication est suffisamment chaleureuse ?
  • Comment ne pas me laisser envahir par mes émotions, mais chercher l’objectivité?
  • Est-ce que je suis parvenu(e) à faire passer mon message?
  • Est-ce que je perçois lorsque je joue la carte du jugement ou de la victimisation?
  • Comment essayer de voir les choses sous un autre angle?

Aujourd’hui, je me concentre sur ma communication.

Je peux:

  • me remémorer d’une conversation agréable. Comment est-ce que je me sentais? Comment est-ce que je parlais? Comment est-ce que j’écoutais? Comment est-ce que je me sentais dans mon corps?
  • me remémorer d’une dispute. Comment est-ce que je me sentais, comment est-ce que je parlais? Comment est-ce que j’écoutais? Comment est-ce que je me sentais dans mon corps?
  • avec ces informations, j’essaie de prendre conscience du ton de ma voix, des mots employés, de l’attitude de mon corps et de leur variation en fonction de la situation.
  • Si je veux m’ouvrir aux autres, je dois faire preuve d’assurance, sans toutefois renvoyer l’idée de supériorité. Je fais preuve d’une assurance tranquille, d’une confiance en la personne que je suis, et de curiosité vis à vis ce que les autres peuvent m’apporter.

Parce que je le mérite.

Si vous désirez cheminer avec moi, pour une étape ou tout au long du mois, vous pouvez trouver les cartes et les carnets de bord ici. Je serai ravie de vous avoir à mes côtés!

Je travaille aussi sur une nouvelle forme de guide, et sur la version anglaise… à suivre!!

Passez une douce journée.

Cheminement du 14 juin

Étape 3: je m’ouvre aux autres.

Quel premier pas puis-je faire ?

  • Comment me rendre abordable?
  • Lequel de mes centres d’intérêt peut me servir de base pour le partage?
  • Et si je commençais par mes proches?
  • Quelles sont les questions que je peux poser pour ouvrir la porte à autrui?
  • Quel lieu ou contexte me permet d’être en contact avec d’autres personnes (réseaux sociaux, expositions, événement…)?

Aujourd’hui, je fais un premier pas vers les autres.

Je peux:

  • regarder le programme des événements de mon lieu de vie (l’été, il y a souvent des choses en plein air, des rencontres, des concerts etc…. )
  • me rapprocher de groupes partageant les mêmes centres d’intérêt que moi (que ce soit en ligne ou dans la ‘vraie vie’).
  • montrer un réel intérêt vis à vis de ce que dit la personne avec qui j’échange, même si sa vision des choses est différente de la mienne (surtout si sa vision des choses est différente de la mienne). Je ne cautionne pas, mais j’écoute. Je n’ai pas à partager ses positions, mais je peux essayer de comprendre pourquoi la personne en a fait les siennes. Et la respecter pour avoir pris le temps de m’expliquer.
  • simplement sourire lorsque j’arrive quelque part, lorsque je rejoins un groupe. Saluer chacune des personnes présentes, sans m’imposer, mais en me montrant accessible et abordable. Parfois, lorsqu’on est mal à l’aise en groupe, ou en présence de personnes qu’on connait peu, on peut se montrer froids et distants. Mais aujourd’hui, je fais un pas vers les autres, donc j’ouvre les portes au lieu de les fermer.

Parce que je le mérite.

Si vous désirez cheminer avec moi, pour une étape ou tout au long du mois, vous pouvez trouver les cartes et les carnets de bord ici. Je serai ravie de vous avoir à mes côtés!

Je travaille aussi sur une nouvelle forme de guide, et sur la version anglaise… à suivre!!

Je vous souhaite une magnifique journée.

Cheminement du 13 juin

Étape 3: Je m’ouvre aux autres.

Qu’est-ce qui m’empêche d’aller vers autrui?

Mon isolement est-il volontaire? Qu’est-ce que je pensais y trouver? Est-ce que des expériences passées m’ont blessé(e)? Est-ce que je me sens mieux seul(e) qu’avec les autres? Est-ce que j’ai l’impression d’être épuisé(e) après avoir passé du temps avec d’autres personnes? Est-ce que je ne trouve personne qui a les mêmes centres d’intérêts que moi?

Aujourd’hui, je prends conscience des obstacles qui existent à mon ouverture au autres.

Je n’essaie pas de trouver de solutions, pour le moment, mais j’essaie de comprendre pourquoi j’ai choisi de me refermer sur moi et sur mon cercle social restreint.

Je peux:

  • prendre conscience des expériences, des personnes qui m’ont mené(e) à ne pas chercher à aller vers les autres.
  • considérer les limites que je me suis posées et qui peu à peu sont devenues des barrières.
  • me demander en quoi je me sens mieux dans mon petit groupe de proches que dans un contexte social plus vaste.
  • faire la liste de ce que je ressens après avoir passé du temps avec d’autres personnes.


Parce que je le mérite.

Si vous désirez cheminer avec moi, pour une étape ou tout au long du mois, vous pouvez trouver les cartes et les carnets de bord ici. Je serai ravie de vous avoir à mes côtés!

Je travaille aussi sur une nouvelle forme de guide, et sur la version anglaise… à suivre!!

Je vous souhaite une belle journée.

Cheminement du 12 juin

Étape 2: je m’ouvre à moi-même

Comment continuer de rester dans l’ouverture vis-à-vis de moi-même ?

Comment garder la porte ouverte à mes émotions, à mes désirs? Comment ne pas me refermer et m’ignorer à nouveau? Qu’est-ce que je peux garder comme une flamme de veille vis à vie de moi? Qu’est-ce que j’ai ressenti en m’ouvrant à moi que je ne veux pas perdre à nouveau? Comment conserver cette intimité et cette transparence avec moi-même?

Aujourd’hui je mets en place ce qu’il faut pour conserver mon ouverture à moi-même.

Je peux:

  • explorer mes émotions et les messages qu’elles me transmettent.
  • instaurer des moments pour moi le plus souvent et le plus régulièrement possible.
  • essayer d’apprivoiser cette part de moi que j’apprécie moins, et d’en faire une alliée et non plus une ennemie.
  • embrasser ce qui me fait vibrer et en profiter aussi souvent que possible, faire en sorte que le plaisir fasse partie de mon quotidien.
  • Accepter et célébrer ma parfaite imperfection!

    Parce que je le mérite.

Si vous désirez cheminer avec moi, pour une étape ou tout au long du mois, vous pouvez trouver les cartes et les carnets de bord ici. Je serai ravie de vous avoir à mes côtés!

Je vous souhaite une magnifique journée.

Cheminement du 11 juin

Étape 2: je m’ouvre à moi-même.

Comment éviter d’être dans le jugement mais plutôt dans le discernement ?

Comment être ni le juge, ni la victime, mais plutôt le témoin ? Comment ne pas me laisser envahir par mes émotions, mais chercher l’objectivité? Est-ce que je perçois lorsque je joue la carte du jugement ou de la victimisation? Comment essayer de voir les choses sous un autre angle?

Être dans le jugement, c’est soit se poser en tant que victime (ça n’arrive qu’à moi, j’ai vraiment la poisse, je n’y arriverai jamais, c’est trop dur…. ) ou en tant que juge (je devrais faire ceci ou cela, j’aurais du, je suis vraiment incapable de… évidemment, j’ai voulu n’en faire qu’à ma tête et…. ). Et ça fonctionne aussi très bien dans nos relations aux autres (rejeter quelqu’un parce qu’il pense différemment, vouloir absolument faire partie d’un groupe, vouloir se fondre dans la norme, voir les autres au travers du filtre de nos opinions….).

Être dans le discernement, c’est se sortir de ce schéma. C’est être un témoin. C’est voir la situation pour ce qu’elle est, factuellement. Oui, ça s’est passé, et voici comment ça s’est déroulé… Oui, les choix qui ont été faits étaient ceux là: …. . Oui, les résultats de ces choix ont été… .

Être dans le discernement, et non dans le jugement nous permet de nous adapter à la situation et d’ajuster notre trajectoire vers notre but. Bien souvent, notre réaction émotionnelle nous empêche de trouver une solution à un problème, parce qu’elle agit comme un filtre. En revanche, en prenant un peu de recul, nous pouvons avoir une vision plus globale et claire, qui nous permet d’agir et de le faire sereinement. Être dans le discernement, c’est donc voir au travers des filtres que nous nous sommes imposés par nos postures de victime et de juge.

Aujourd’hui, je m’efforce d’être dans le discernement et non le jugement.

Je peux:

  • me demander ce qui provoque une réaction émotionnelle de ma part, ce qui me fait réagir de suite et de manière plutôt vive. Je me rends probablement compte qu’il s’agit souvent du même genre de situations ou de personnes…
  • lorsque je me rends compte que je suis dans le jugement, je peux essayer de me mettre dans la situation du témoin et essayer de voir ce qui se passe le plus objectivement possible. Pas ce que j’aimerais voir, pas ce qui aurait du être.. Non, ce qui est, ce qui se passe. Et je me désengage émotionnellement de la situation.
  • Je peux trouver un petit quelque chose à mettre en place lorsque je me rends compte que je suis en position de juge ou de victime. Un mot, un geste, qui m’amène à une position de témoin. (En ce qui me concerne, j’envisage la victime comme celui qui voit le verre à moitié vide et qui se trouve en bas, dans une position de supplicant (oui, j’ai des images très élaborées dans ma tête hahaha), et le juge comme celui qui voit le verre à moitié plein et qui pose un regard très dur vers le bas. Le témoin est celui qui voit le verre. Et c’est l’image d’un verre, ou même le mot verre qui m’aide à revenir à mon discernement. )
  • je ne me juge pas pour avoir eu telle ou telle vision de quelque chose, ou de quelqu’un. C’est sans doute le produit de tout un tas de facteurs, de la façon dont j’ai été élevé(e), de mon éducation, de ma culture, de mes expériences passées. Je peux en revanche en prendre conscience et m’efforcer de voir au delà.

Parce que je le mérite.

Si vous désirez cheminer avec moi, pour une étape ou tout au long du mois, vous pouvez trouver les cartes et les carnets de bord ici. Je serai ravie de vous avoir à mes côtés!

Passez une merveilleuse journée.

Cheminement du 10 juin

Étape 2: je m’ouvre à moi-même

Que puis-je faire pour moi dès aujourd’hui ?

De quoi ai-je besoin? Combien de temps est-ce que je peux me consacrer? Qu’est-ce qui me ferait plaisir? Qu’est-ce qui me ferait du bien? Avec qui puis-je passer un peu de temps? Ou au contraire, comment passer un peu de temps seul(e)? Où est-ce que je peux me ressourcer dans la nature?

Aujourd’hui, je me fais plaisir.

Je peux:

  • Prendre mon petit déjeuner/ déjeuner au soleil, pour faire le plein de vitamine D. Ou simplement prendre un café en terrasse.
  • Me préparer un plat que j’aime particulièrement, et le déguster en pleine conscience.
  • Prendre le temps de m’exfolier sous la douche, avec un gant de crin.
  • Écouter ma musique favorite, regarder un épisode (ou plusieurs) de ma série du moment, lire un chapitre d’un livre qui me fait de l’œil depuis un moment.
  • M’amuser à patouiller, juste pour le plaisir. Peinture, collage, encre, graphite, crayons de couleurs, feutres, sculpture en glaise ou en pâte à sel, en pâte fimo… Que ce soit une œuvre d’art originale ou une page de coloriage que j’ai imprimée, peu importe, je laisse ma créativité s’amuser.
  • Danser sur une musique rythmée (j’avoue, en ce moment, mon truc c’est le dark clubbing… mais je mets mon casque! Pauvres voisins sinon hahaha)
  • Me faire un soin du corps, m’hydrater, me masser…
  • Faire un câlin avec mes enfants, m’enivrer de leur odeur, me dire que j’ai beaucoup de chance.
  • Me lover dans les bras de l’être aimé. Me baigner dans son énergie, et me laisser porter, lâcher prise.
  • Méditer, visualiser, respirer. Me détendre.
  • M’écrire une lettre (et non, pas pour me dire tout ce qui ne va pas, ce que je ne fais pas, ce que je devrais faire, être ou penser, ce que je ne réussis pas, au contraire! Pour me confier mes plus belles réussites, mes plus belles rencontre, et me dire combien j’ai de la chance d’être moi, avec tous mes défauts qui sont autant de chances d’explorer encore plus loin, encore plus longtemps, pour mon plus grand plaisir).

Parce que je le mérite.

Si vous désirez cheminer avec moi, pour une étape ou tout au long du mois, vous pouvez trouver les cartes et les carnets de bord ici. Je serai ravie de vous avoir à mes côtés!

Je vous souhaite une douce journée.

Cheminement du 9 juin

Étape 2: je m’ouvre à moi-même.

Quels sont mes rêves, mes désirs ?

Qu’est ce que je désire vraiment dans ma vie? Qu’est ce que je rêve d’être? de faire ? d’avoir? Est-ce que je peux en faire une réalité? Que me manque-t-il pour le faire? Est-ce que je peux au moins le faire en partie? Qu’est-ce qui m’en empêche? Comment faire pour harmoniser ce rêve et ma vie actuelle?

Aujourd’hui, j’écoute ce qui m’attire au plus profond et je fais un pas vers la matérialisation de mon rêve.

Je peux:

  • faire la liste de mes rêves, même les plus fous. Je les écris, et c’est déjà faire un pas vers eux. je reconnais leur existence et leur impact sur ma façon de penser et de faire ce que je fais.
  • choisir ceux qui sont réalisables, qui peuvent s’intégrer dans ma vie, qui me feraient vraiment plaisir de vivre.
  • faire un tableau de visualisation afin de les représenter et de les honorer. (voir mon article sur les tableaux de visualisation, ici, pour vous inspirer et vous donner des idées)
  • me demander si certains peuvent être matérialiser ou si je préfère qu’ils restent des rêves.
  • surtout je ne me juge pas, je me laisse porter et je me donne le droit de rêver, de désirer, et de profiter de ce que ça me fait ressentir. Ces rêves sont en moi, ils font partie de moi, et ils m’offrent des cadeaux inestimables: l’espoir, la motivation, un sourire sur mes lèvres!

    Parce que je le mérite.

Si vous désirez cheminer avec moi, pour une étape ou tout au long du mois, vous pouvez trouver les cartes et les carnets de bord ici. Je serai ravie de vous avoir à mes côtés!

Passez une merveilleuse journée.